Verderber mondial (en charactères allemands).

Verderber mondial

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Commencement, Biographies

Thomas Verderber (19.12.1793–13.5.1886) et la Maison Verderber à Retz (Autriche)

Pavillon allemand. Deutsche FassungPavillon britannique. English Version

Photo : La Maison Verderber à Retz (Autriche).
Photo : La Maison Verderber à Retz (Autriche).

L’article suivant a été publié dans le Journal de Gottschee (Gottscheer Zeitung) en novembre 1975. L’article se trouva aux pages 1 et 8 du journal. Le suivant est une traduction du texte original allemand.

Thomas Verderber

Un rapport  rassemblant de la vie et de l’œuvre de Franz Pickert

Thomas Verderber fut en route, on peut constater la date, le 12ème ou 13ème mai 1809, ainsi 16 ans jeun, dans un petit village devant Vienne, avec quelques florins du capital, une hotte pleinement chargée sur son dos et une grande portion de la pensée commerciale dans sa tête, quand un détachement de cavaliers couverts de poussière lui dépassa et lui poussa au côte. « Le Napoléon vient! » les hommes effrayés murmurèrent. Thomas, devenu curieux, resta près de la route pour voir de la plus prochaine proximité l’homme, qui donnerait tant beaucoup de sujet de conversation. Le détachement eut passé, un cavalier insignifiant suivi par une troupe des officiers pompeusement uniformisés passa.  – « Maintenant le Napoléon viendra! » Thomas pensa. Mais ils vinrent seulement des soldats simples, puis clairement train. Thomas fut près de pleurer quand il apprit que le cavalier insignifiant fut été le grand Napoléon.

Ensuite il vint devant la ville, un garde de douane défendit lui à entrer, car sa légitimation fut délivrée de la direction française à Laibach (aujourd’hui Ljubljana – annotation de la rédaction Verderber mondial) ; aux telles personnes l’entrée à Vienne fut défendit. Thomas raconta plus tard qu’il jeta sa hotte sur un véhicule passant et se rendit dans la cité à côte du garde de douane, caché derrière le véhicule. Ses frères Josef, Leonhard et Johann exploitaient un colportage (articles manufacturés et de mode) avec la position à Vienne. Car Leonhard se retira en 1810 et se dévouait l’agriculture dans son village natal Nesseltal no. 7, le plus jeun, Thomas, né le 21ème décembre 1793, avança à sa position. Les trois frères qui élargirent leur compagnie aux visites des foires fondèrent en 1815 la firme enregistrée « Gebrüder Verderber » (Frères Verderber). En 1822 le colportage fut complètement fini, et la vente se passait seulement aux foires. Les voyages étaient pénibles sans doute, mais le bénéfice était copieux. À Retz, une ville qu’ils connaient bien déjà, ils fondèrent un lieu ferme d’exploitation en 1829. C’était la postérieure « Verderberhaus » (Maison Verderber) au Hauptplatz (Place principale) qu’ils achetèrent en 1848. Ce vaut toujours la peine d’être vu aujourd’hui, et c’est digne d’une description détaillée.

La Maison Verderber

résulta de l’ancien immeuble-tour, le Gewelibhaus (1437). À l’origine c’étaient trois maisons, aujourd’hui la construction couronnée des pinacles porte les numéros des maisons 15 et 40.

En 1495 la famille notable des bourgeois Paschinger était propriétaire, en 1583 la maison appartenait au trésorier du comte Julius, Hans Fierennez de Görz. Celui-ci laissa élever la magnifique construction existante toujours aujourd’hui de la Renaissance avec les énormes pinacles de décoration. Le nom du constructeur est perpétué dans le relief de la pierre sur l’arc-boutant, de même sa devise « Alles mit der Zeit » (Tout avec le temps). On entend cela toujours fréquemment à Retz. À l’intérieur de la devise il y a armoiries, à la droite et à la sinistre il y a des figures allégoriques dans habit longue, avec cheveux ondulants et une couronne sur la tête. La figure à la droite tient calice et croix, la à la sinistre tient balance et épée. Aux côtes on voit respectivement un lion, sur le compartiment moyen la couronne des bourgeoises et deux griffons ailés. Dans les armoiries il est à lire non seulement le nom « Fierrenez von Görz » (Fierrenez ( Fierenze, florens, fleurir) de Görz) avec l’année 1583 mais aussi le nom « Geb. Verderber von Gottschee » (Frères Verderber de Gottschee).

Après le mort du frère aîné (1842) il fut convenu que Johann entreprenait l’achat à Vienne et les agences extérieures, Thomas au contraire la direction du commerce à la ville Retz. En connaissance juste du produit excellent de la viniculture de Retz Thomas fixait toute son attention sur cela, surtout ses parents à Nesseltal s’occupaient du commerce de vins. En 1862 Johann Verderber mourut, toute l’entreprise passa à Thomas. Il était active en commerce, viniculture et agriculture, et cela sans une éducation scolaire régulière ; mais sa mémoire lui qualifiait pour des calculs les plus compliqués. Outre les propriétés foncières à Retz il possédait six maisons à Vienne. Il se tenait rigoureusement au commerce de vins et il frétait du vin d’or et non frelaté de Retz loin à Nord et Est, on dit qu’il même arriva à St. Petersburg. Le vin vrai s’enlevait, ainsi il faisait non seulement des bons marchés mais aussi il aidait le « Retzer » à obtenir une bonne réputation. Sur le retour il achetait de la toile dans les régions de tisseranderie aux Sudeten (une contrée montagneuse entre la Bohême et la Silésie) qu’il vendait profitablement à Vienne où il avait un grand magasin aux « Tuchlauben ».

À sa maison à Retz il appartenait une cave à vin avec une capacité de 1000 hectolitres. – À Retz chaque maison dispose d’un propre cave avec entrée de la maison. Les caves sont environ 12 à 16 mètres de profondeur, maçonnées avec des briques. En effet aussi beaucoup des corridors, ici on nomme les « Röhren » (tuyaux), courent simplement dans le sable dur, fréquemment loin au-delà des dimensions des maisons. Quelque chose digne d’être vue !

La vie dans la maison du Thomas Verderber était patriarcale. Tous les membres formèrent une famille et les employés masculins étaient assises à la longue table dans la salle à manger à midi et le soir. Le plus vieux des frères suivis, le curé en retraite Georg Verderber, prenait la place la plus haute. Après son mort eut eu lieu en 1864 Thomas avança à la première position, à son côte était assise la sœur veuve Maria. Conformément de la durée de leur temps de service puis les employés suivraient. Sur les places les plus basses les apprentis étaient assises qui avançaient avec le temps ; ainsi par exemple Matthias Jonke, un colosse maigre (« der große Mattl » (le grand Mattl)) qui gagna une fortune remarquable chez Verderber et retourna comme un pensionné à Gottschee, son pays. Ou Josef Misson qui fonda lui-même une maison de commerce ; son fils compte parmi les poètes autrichiens les plus connus du dialecte avec son livre « Der Naz ». Verderber aida beaucoup des employés à obtenir l’indépendance, ainsi Matthias et Georg Verderber à Retz, Jakob Sontschitsch à Theras, Josef Hosp à Schrattenthal, Alois Richter à Pulkan, Johannes Verderber à Großweikersdorf, Franz Krzandalsky à Wullersdorf, Eduard et Josef Verderber à Retz et Jakob Schmuck à Gnadendorf.

Thomas Verderber – un bienfaiteur

Aussi à son pays Thomas était connu comme un bienfaiteur. Il acheta la maison et ’s Schtekhle (no. 34 et 35) d’une parente, Maria Stonitsch (Mrirsch Mine) à Nesseltal et donna la à la commune avec la condition que les pauvres du village avaient la permission d’utiliser les chambres et celui qui allaient à l’église la permission de se chauffer en hiver là. L’église, le corps de pompiers et l’orchestre de musique s’adressèrent maintes fois à leur compatriote aisé pour aide ; ils ne prièrent jamais en vain. Il aidait énergiquement le peintre Karl Meditz, un fils de sa parente Gertrud Verderber, mariée Meditz. Et le « Judenbrunnen » (Fontaine des Juifs) à Nesseltal rappelle à lui avec une épigraphe : « Andenken an Thomas Verderber, Retz 1873 » (Mémoire à Thomas Verderber, Retz 1873). En plus il sonda une fondation de 10.000 florins pour aider les pauvres du village; en 1918 la monnaie se réduisit à rien. De tout cela son testament peut donner des informations plus détaillées. Le grand bienfaiteur fut nommé citoyen d’honneur de Gottschee.

De la chronique de la ville Retz

Thomas Verderber prenait part active au développement de la communauté de la ville. L’introduction du marché de la semaine, la fondation de la caisse d’épargne, du corps de pompiers et différents établissements d’intérêt commun trouvaient toujours sa bienveillance. C’est pourquoi il était très respecté. Jusqu’à la fin de sa vie il était président de la caisse d’épargne, jusqu’à la 90ème année de la vie membre du conseil municipal.

En 1844 une tempête puissante lança la drapeau de fer avec pommeau, barre du casque et aigle de la tour du hôtel de ville ; les Verderber prirent sur eux avec 100 florins le demi des dépenses pour dorer l’aigle.

Le 25ème juillet 1866 quatre les meilleurs chevaux furent réquisitionnés par les troupes prussiennes, de cela deux du marchant Verderber.

Au congrès du vin à Vienne en 1870 la timbale d’argent donnée par la ville Retz fut décernée au Thomas Verderber et ainsi retourna à Retz. Quand le prince royal Rudolf vint par Retz pendant une tournée d’inspection, on donna lui du vin dans cette timbale ; depuis ce temps elle était nommée le « Kronprinzenbecher » (Timbale du Prince Royal). Où est ce timbale aujourd’hui ?

Thomas Verderber donna beaucoup des briques recuites, mais non seulement pour cette raison mais avant tout pour ses sentiments sociaux une rue à Retz fut nommée d’après lui. Thomas Verderber dit que sa famille ne provint pas de Nesseltal, mais de Verderb, commune Mösel. Pendant leurs recherches sur l’art de la peinture derrière verre dans le village Außergefield (plus tard écrit comme Außergefild) près de Winterberg, district Prachatitz, CSSR, Madame Dr. Maria Kundegraber rencontra le marchant ambulant Michael Verderber, marié là et de la région Gottschee, dont le fils Johann Verderber (1793 à 1870) entreprit de grand style la production et la vente de peintures derrière verres avec des motifs religieux (l’artisanal il étudia vraisemblablement à Raymundsreut (aujourd’hui Raimundsreut) voisin en la Bavière).

Ils sont mentionnés plusieurs marchands ambulants de la Gottschee, et cela : Paul Janke (Jonke); Johann Stephandl, né à Verderb, qui reçut un passeport pour l’intérieur le 12ème novembre 1823; Peter et Andreas Schuster, nés à Schlechtbüchel; Andreas Meditz de Büchel; Deutschmann.

Le père des Verderbers à Retz s’appelait Andreas Verderber ; il était probablement un frère du Michael Verderber susmentionné, ainsi celui-ci était oncle de notre Thomas. Andreas Verderber avait 13 enfants ; les suivants vinrent à Vienne et Retz :

Thomas Verderber était célibataire endurci. Il n’avait jamais du temps de penser à se marier, il dit ; en outre la femme sème la discorde et la zizanie. De là les neveux admis dans la firme n’avaient pas la permission de se marier. Mais quand le catholique pieux et sévèrement croyant mourut le 13ème mai 1886, ils se marièrent quatre neveux le même jour et vraisemblablement furent mariés par le membre de consistoire et doyen Anton Richter, un frère, à Feldkirchen.

À la suite des noms Verderber–Richter

Dès années dernières de Thomas Verderber un Richter qui eut marié Maria Kraker aida dans la gestion des affaires ; il aura devenu le père des Richters. Maria Kraker, dont la mère Maria Verderber était une sœur du Thomas, maria un Kraker, après le nom un homme de la région Gottschee. Pendant la famille des Verderbers provient de Verderb, commune Mösel, et probablement donna sa nom à ce village, de cela il est à conclure qu’ils étaient des citoyens-chevaliers, des citoyens en héritage, des patriciens ou des citoyens avec le droit de témoigner et cacheter et après une information de Lm. OSR. (présumablement pour compatriote inspecteur général) Matthias Schneller ils aussi exerçaient la fonction de juges locaux et portaient un collier en signe de leurs activités, la famille des Richters ainsi vient de la Bohême du Nord ou de la Saxe. Le père était l’organiste et pédant Anton Richter, un bon homme, qui maria Maria Kraker à Nesseltal, une fille de la Maria Kraker, née Verderber (comme susmentionnée une sœur du Thomas Verderber). De ce mariage naquirent dix garçons ; un de ces dix est Karl Richter, actuellement chef ancien de la firme Gebrüder Verderber (Frères Verderber) à Retz.

Et le cadastre révèle nous que la Maison Verderber no. 15 actuellement appartient avec 3/8 respectivement à Karl Richter et à Gottfried Richter, avec 2/8 à Peter Richter ; la Maison Verderber no. 40 avec 1/4 à Friederike Richter et avec 3/4 à Ingeborg Dotti. En outre une Maria Schneller parait comme la propriétaire de la maison no. 38.

Le mausolée au cimetière de Retz

Le généalogiste recherche encore et encore aux épitaphes. Quand je vis la belle chapelle gothique de tombe, je fus convaincu qu’elle seulement put être cette des Verderbers. Je ouvra la porte, vis un espace couvert et un catafalque au milieu : Ainsi un halle d’exposition sur le catafalque ! Je pris des renseignements, c’etait vraiment la chapelle de tombe des Verderber-Richter qu’était cédée par la famille à la ville jusque laquelle est en état de la-même construire un halle d’exposition. À ma troisième visite quand le fossoyeur enleva les drapes des mures pour moi, je pus étudier les plaques emmurées de marbre. À la première je lus:

Hier ruhen in Gott
und harren der seligen Auferstehung
die fünf Geschwister Verderber.

(Ici ils reposent en dieu et attendrent la résurrection bienheureuse les cinq frères et sœurs Verderber.)

Ils sont placés dix plaques avec douze noms, je tins ferme les tous ; assurément il conduise trop loin, si je rende toutes les épigraphes. Seulement tant est dit que le nom Verderber parait sept fois, ce des Richters cinq fois.

Aussi les familles Richter jouent un rôle important dans la communauté de la ville Retz. De 1900 à 1906 un Alois Richter était bourgmestre (maire), il établit le musée et plus tard fut décoré avec le Goldenen Verdienstzeichen (Signe d’Or du Mérite) et fut nommé citoyen d’honneur. Aujourd’hui un beau-fils du Karl Richter, diplôme-marchant Herbert Stegmüller, conduit le commerce de gros avec prudence.

De Thomas Verderber on peut dire :

Tu étais simple en vie,
grand en aider
et tranquille en mourir.

Pendant mes recherches dans la ville Retz les messieurs suivants m’aidèrent extrêmement :

Je suis l’obligé de les au remerciement.

(Une recommandation pour un voyage : La ville Retz est sûrement digne d’un voyage avec le seule moulin à vent en Autriche qu’est en état prêt à fonctionner, les caves étendues à vin, le calvaire et non à la fin la Maison Verderber.)

Dans cet article la date de naissance de Thomas Verderber est nommée en deux versions avec contradiction. Mais nous avons un arbre généalogique, et là il est né le 19ème décembre 1793 (et ne pas le 21er décembre 1793).

Considérez aussi les suppléments dans les informations arrivées..

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