Verderber mondial (en charactères allemands).

Verderber mondial

Une Rencontre virtuelle de la Famille dans le Réseau

Ligne horizontale.


CommencementHistoire de la Famille

La branche juive de la famille Verderber et le Troisième Reich

Pavillon allemand. Deutsche FassungPavillon britannique. English Version

Introduction

La famille Verderber aussi a une branche juive. Cette branche se répandait d’Europe de l’Est à l’Ouest, par exemple à Bruxelles (Belgique), comme indiqué par le lexique de la généalogie et biographie des Juifs à Bruxelles de Claude C. Geudevert, où se trouve dans l’index l’inscription « Verderber (1908) » (voyez http://www.genami.org/documents/Fichier_Belge/liste-v.pdf), mais on ne peut pas connaître à quels personnes ce rapporte. Aussi il y a des Ferderbers juifs. Beaucoup des sources rapportent des personnes, qui étaient déportes et assassinées pendant le Troisième Reich. Mais heureusement il y avait des survivantes.

Aussi il y avait des Verderbers non-juifs qui furent déportés aux camps concentrationnaires.

Victimes du Troisième Reich

Au premier les personnes assassinées ou disparus, arrangées par le domicile dernier devant la déportation (en tant que connu, autrement par la place du camp concentrationnaire) :

Cologne (Allemagne, Köln) :
  • Alwine Pflanzer, née Verderber, née le 17.3.1888, déportée de Cologne à Auschwitz (Oświecim, Pologne), demandée d’être morte.

    Vous trouvez plusieurs détails dans l’article sur les Verderbers de Cologne.

  • Gella Verderber, née Rosenzweig, née le 20.2.1889 à Tarnow (Tarnów, Pologne), habitante en Cologne, déportée à la ville polonaise de la frontière, Bentschen (Zbaszyn) en Octobre 1938 avec son fils le plus jeune Adolf Verderber, né le 22.2.1930 en Cologne. Les deux moururent à Limanow (Limanowa) en Pologne en 1942 ou 1943.

    Sa enfant du plus âge, la seule fille Netta Verderber, née le 11.6.1921 en Cologne, préparait sa émigration au Palestine dans le sioniste camp de l’éducation à Rüdnitz (transcription allemande sans métaphonie : Ruednitz) près de Bernau quand elle fut déportée. Elle mourut sans doute en 1943.

    Les deux fils aînés purent être sauvés et s’établirent en Israël.

    Vous trouvez plusieurs détails dans l’article sur les Verderbers de Cologne.

Irsa (Hongrie, au sud de Budapest) :
  • Sándor Ferderber, né le 24.2.1892 à Irsa, là habitant, comme un Juif de prison préventive de l’Hongrie avec le numéro de détenu 108302 arrivé le 18.9.1944 d’Auschwitz (Oświecim, Pologne) au camp concentrationnaire Dachau (à l’ouest de Munich), de là encore transféré le 25.9.1944 à Auschwitz (liste de Dachau, page 1393/Fa.; voyez http://www.jewishgen.org/databases/holocaust/ avec le mot de recherche « Ferderber ») et finalement mort au camp concentrationnaire Mühldorfer Hart (à l’est de Munich, plusieurs détails à Place d’Avertissement Camp concentrationnaire Dachau) à une date inconnue (voyez Place d’Avertissement Camp concentrationnaire Mühldorfer Hart (liste des morts sans date de mort)).

    Le camp concentrationnaire Mühldorfer Hart (commune Mettenheim, district Mühldorf sur Inn, plusieurs détails sous Place d’Avertissement Camp concentrationnaire Mühldorfer Hart) fut établi en Septembre 1944 pour construire un fortin pour produire des aéroplanes. Le 7.10.1944 y eut une insurrection à Auschwitz-Birkenau, et le 1.11.1944 Himmler commanda de finir gazer là. Par conséquent il est possible que Sandor Ferderber n’arriva pas de Dachau à Auschwitz, mais en chemin fut détourne au camp concentrationnaire Mühldorfer Hart.

    Un monument dans le cimetière juif de la ville hongroise Albertirsa dans le district Pest rappelle à Sándor Ferderber et aux victimes suivants : Árpád Ferderber, Árpádné Ferderber, Miklós Ferderber et Sándorné Ferderber. Il est à supposer que ces furent tous une famille. (Voyez la banque de donnés des monuments hongrois pour les victimes sur http://www.jewishgen.org/databases/holocaust/ avec le mot de recherche « Ferderber ».)

Krakow (Kraków, Pologne) :
  • Moshe Mordechai Verderber, né 1892 à Auschwitz (Oświecim, Pologne), tapissier avec épouse Lea Mindel Otremski, habitant à Krakow avant et pendant la guerre. Père Shlomo Yehoshua, mère Frieda. Mort au camp concentrationnaire Majdanek ou Treblinka à une date inconnue. Deux filles survivaient. Rapporté par Frieda Katz 1956 à Kfar Saba. (Source: Hall des Noms à Yad Vashem, voyez banque des donnés des Juifs de la région Auschwitz (banque des donnés Oshpitzin Yizkor) sur http://www.jewishgen.org/databases/holocaust/ avec le mot de recherche « Verderber ».)

    Dans les listes des morts à Yad Vashem il y a une inscription d’une Mindla Verderber, née 1892, habitant en Pologne et morte 1942 à Krakow, laquelle se rapporte selon toute apparence à l’épouse Lea Mindel Otremski. (Voyez http://yad-vashem.org.il/download/remembrance/bycountry/POLAND.pdf.)

Kupiak (Kupjak, Croatie, district Delnice, á l’est de Rijeka) :
  • Vlado Ferderber, né le 5.7.1926 à Kupiak, habitant Kupiak no. 127, arriva le 11.10.1943 au camp concentrationnaire Dachau et fut transféré de là au camp concentrationnaire Buchenwald le 31.10.1943.

    Vlado Ferderber n’était pas juif. Il survivait et retourna à Kupiak. Pour plusieurs détails voyez Vlado Ferderber de Kupiak et le Troisième Reich.

Leipzig (Allemagne):
  • Joseph Verderber et sa femme Leah de Leipzig disparurent sans trace, aussi leur fille Clara Verderber. Trois autres enfants survivaient. Vous trouvez plusieurs détails dans la biographie de Leo Verderber.

Milan (Italie, Milano) :
Prešov (Slovaquie) :
  • Viktor Ferderber, né le 30.6.1894 à Prešov, habitant à Prešov, Maichowa 4, comme un Juif de prison préventive de la Slovaquie avec le numéro de détenu 119371 arrivé au 27.10.1944 d’Auschwitz (Oświecim, Pologne) au camp concentrationnaire Dachau (a l’ouest de Munich, plusieurs détails à Place d’Avertissement Camp concentrationnaire Dachau) et là mort au 17.12.1944 (liste de Dachau, page 1393/Fa.; voyez http://www.jewishgen.org/databases/holocaust/ avec le mot de recherche « Ferderber »).

Ravensbrück (Brandenburg, Allemagne):

Cet exposé ne doit pas être correct ou complet ! Si vous savez plus de le destin de les personnes citées ou connaissez plusieurs noms, transmettez-vous cela à nous, s’il vous plait.

Survivants du Troisième Reich

En tout cas quelques membres juifs de la famille sont survives.

Par exemple, l’artiste Ferdynand Verderber de Krakow (Kraków) en Pologne (qui a le nom Ephraim Peleg aujourd’hui, voyez http://pelegstudio.com) et son frère survivaient, mais leurs parents étaient assassinés dans les camps concentrationnaires.

Quand Ferdynand était quatre ans, sa famille devit déménager dans un petit appartement dans le ghetto de Krakow, où aussi habitaient un oncle, une tante et leurs deux filles. Lorsque la situation dans le ghetto plus empirait, Ferdynand et son frère étaient cachés chez leur ménagère non-juive et devaient cacher leur identité juive. Les cachettes changeaient en permanence jusqu’au fin de la guerre. Les deux frères furent envoyés de vivre dans un kibbuz à Israël. Ephraim Peleg alla aux États-unis de l’Amérique et là vive aujourd’hui. (Voyez http://www.chgs.umn.edu/Visual___Artistic_Resources/Hololay3P2.pdf.)

L’oncle, un frère du père mourut dans les camps concentrationnaires, tandis que sa femme et les deux filles survivaient (d’après l’information de Ephraim Peleg). Le cas de ses parents et de son oncle démontre que la liste susdite des victimes est encore très incomplète.

Dans une liste des orphelins juifs de la Pologne il y a deux enfants, Ferdynand Verderber (né le 5.5.1937, numéro des archives 2414) et Henryk Verderber (né le 9.8.1939, numéro des archives 2414), qui sont présumablement Ephraim Peleg et son frère, voyez http://hebrew.gfh.org.il/children%20with%20lost%20id/chtuv.htm.

Au même source il y a une autre orpheline, Reisa Verderber (née le 27.5.1938, numéro des archives 2385), mais là avec le nom « Verdeber » – indubitablement une erreur d’écriture.

Plusieurs Verderber juifs de la Pologne qui survivaient la persécution (du registre des survivants juifs I et II, à trouver sous http://www.jewishgen.org/databases/holocaust/ avec le mot de recherche « Verderber »)  :

Registre des survivants juifs I
Juifs survivants en Pologne – la liste du comité de Krakow :
  • Runia Verderber, née 1929, ancien domicile Krakow (15, page 144).
  • Pesia Verderber, née 1936, ancien domicile Krakow (15, page 144).
  • Leon Verderber, né 1917, ancien domicile Brzesko (15, page 144). Il y a au moins deux places nommées Brzesko en Pologne, une de ces est située environ 50 kilomètres à l’Est de Krakow.
Enfants survivants juifs en Pologne :
  • Runia Verderber, 13 ans (16a, page 147). Peut-être la même comme la Runia Verderber susmentionnée.
  • Resia Verderber, 7 ans (16a, page 147). Peut-être la même comme Reisa Verderber ou Pesia Verderber susmentionnées (si on suppose une erreur d’écriture).
Registre des survivants juifs II
  • Ises Verderber, domicile dernier Zabno (page 67). Cette place existe à différentes reprises en Pologne avec les écritures Zabno et Żabno, entre autres il y une place Żabno, située environ 50 à l’Est de Krakow.
  • Runia Verderber, domicile dernier Krakow (page 67). Peut-être cette est la même comme la Runia Verderber susmentionnée.
  • Bronia Verderberg, domicile dernier Krakow (page 67). Cette ne semble pas d’être une Verderber, s’il n’est pas une erreur d’écriture, parce qu’il avait une place nommée Verderberg en la Galicie.

Peut-être tous les Verderbers de Krakow et des environs, inclusivement le Moshe Mordechai Verderber assassiné, sont parents à Ferdynand Verderber.

La Juive polonaise Bertha Ferderber-Salz aussi survivait. Elle cacha leur deux jeunes filles chez Polonais catholiques et les recouvra avec difficultés au fin de la guerre. Elle écrit un livre de cela, qui semble seulement parue en Anglais (« And the Sun kept Shining », New York, Holocaust Library, 1980). Le titre en Français et environ « Et le Soleil brille toujours » (voyez http://www.holocaustmemoirdigest.org/Memoirs/bertha.ferderber.pdf et pour une carte pour le livre http://www.holocaustmemoirdigest.org/Maps/Hol._Mem._8_Sun_Keeps_pdf.pdf).

Edith Ferderberova, née le 21.8.1912 à Krompachy (Slovaquie, à l’ouest de Prešov), est mentionnée dans une liste des survivantes tchéco-slovaque femmes dans hôpitaux de Bergen-Belsen et Theresienstadt (bloc no. 56) (voyez http://www.shtetlinks.jewishgen.org/Mukachevo/data3.htm).

Un autre membre de la branche juive est la femme peintre Niki Verderber, qui est née à Strasbourg (France) et émigré à Israël et s’établit à Jérusalem (voyez http://www.sdv.fr/judaisme/perso/artistes/niki/niki-v.htm). D’après l’information de leur famille ses parents survivaient pendant la Seconde Guerre Mondiale comme beaucoup des Juifs de Strasbourg par plonger à Limoges dans la « France Libre » (d’après une information personnelle).

Leo Verderber (1919–2002) qui était Juif ajullemand, étudiait la Thora en Suisse et fut déporté d’Italie à Auschwitz (Oświecim, Pologne) était un de peu des survivants de ce camp concentrationnaire. Ses parents et une sœur furent assassinés par les Socialistes Nationaux; l’autre sœur et son frère eurent émigrés à temps. Vous trouvez plusieurs détails dans la biographie de Leo Verderber.

Des Verderbers de Cologne seulement les deux frères Israel Moses Verderber et Theodor Verderber survivaient. Israel Moses eut émigré justement à temps, et Theo Markus fut sauvé par un Kindertransport (transport d’enfants) en Angleterre. Vous trouvez plusieurs détails dans l’article sur les Verderbers de Cologne.

De la histoire

De l’origine de la branche juive de la famille

D’après la connaissance actuelle les membres juifs de la famille vivaient dans l’est de l’Allemagne et de l’Autriche-Hongrie avant la Première Guerre Mondiale. Les autres eurent déménagés au ouest jusque vers l’an 1900. Aussi il ne semble pas jusqu’a présent que Verderbers juifs existaient dans la région Gottschee. Mais ce n’est pas exclu, car il y avait un « Judenbrunnen » (fontaine des Juifs) à Nesseltal (Koprivnik) que indique qu’il y avait aussi des Juifs dans la Gottschee (voyez la remarque concernante dans l’article sur Thomas Verderber).

La recherche de l’origine de la branche juive de la famille est compliquée par la fait qu’il a encore tant moins des sources. Ainsi il est totalement obscure combien des temps il y avait des Verderbers juifs dans l’Est. Les sources qui sont encore connues, elles prouvent seulement Verderbers juifs jusqu’au 19ème siècle, et plus exactement seulement pendant sa deuxième demi.

Par exemple on dit que Jehuda Arie Verderber (Leo Verderber), le père des Verderbers de Cologne, vint de Wischnitz en Pologne. Si sa lieu de naissance est le Wischnitz (Wiśnice) en district Tost-Gleiwitz dans la Haute Silésie, ainsi on ne peut pas trouver une famille Verderber dans le registre généalogique des familles pour 1770–1800 (Source : Société Généalogique d’Utah, microfilm nombre 1573223, voyez http://www.familysearch.org). Mais il est obscure dans quelle mesure tels registres recensent les familles juives, et aussi il semble d’exister un autre Wischnitz.

Il y a deux possibilités pour l’origine de la branche juive de la famille :

  1. Il y a une relation de la parenté à la branche non-juive.

    En ce cas, il s’agit probablement des descendants des émigrants de la Gottschee. Car les Verderbers de la Gottschee étaient tous catholiques et car traditionnellement enfants passent pour être juifs seulement avec une mère juive, il résulte en ce cas, qu’un Verderber maria une Juive. S’il convertit lui-même ou s’il accepta une éducation juive de ses enfants, ce n’est pas important là. Il n’est pas probable que cela arriva avant l’émancipation des Juifs du 19ème siècle.

    Mais on peut aussi penser que les Verderbers étaient originellement juifs et que leur plupart convertit au catholicisme. Les convertis ou leur plupart ensuite s’établirent dans la Gottschee. En ce cas le nom Verderber était peut-être un nom injurieux que les Juifs reçurent avant la conversion.

    Telles conversions n’étaient pas rares pendant le moyen âge. Notoirement beaucoup des convertis en Espagne (où ils étaient nommés Marrans) furent assassinés par l’inquisition, et beaucoup de ces fuirent à l’Amérique du Sud. Naturellement les Juifs étaient persécutés et fuirent à Hollande et la côte adriatique, par exemple.

  2. La branche juive n’est pas parent aux autres Verderbers. Donc les Verderbers juifs reçurent ailleurs leur nom.

    À cela il y a une théorie de Benzion Kaganoff (dans « A Dictionary of Jewish Names and their History » (Un Dictionnaire des Noms juif et leur Histoire), Schocken Books, New York, 1977),  d’après laquelle les Juifs – quand ils durent accepter noms « civils » – durent payer pour beaux noms, autrement ils reçurent un nom injurieux. Parmi les exemples nommés par Kaganoff, il se trouve aussi le nom Verderber. Mais cette théorie est controversée. (Voyez http://www.jewishgen.org/wconnect/wc.isa?jg~jgsys~archview~73231~Verderber~1992;9.)

Quelle possibilité est correcte, c’est encore totalement ouvert. Actuellement, on ne peut pas refuser aucune des ces.

Des archives et cimetières

Naissances

Naissances chez Verderbers juifs à Krakow (Kraków, Pologne) (voyez http://www.jewishgen.org/jri-pl/jriplweb.htm avec le mot de recherche « Verderber »)  :

Mariages, publications des bans et divorces

Publications des bans et mariages à Krakow (Kraków, Pologne) (voyez http://www.jewishgen.org/jri-pl/jriplweb.htm avec le mot de recherche « Verderber »)  :

1913, Publication des bans, numéro suivi 256:
Mojsesz-Mordche Verderber de Wisnicz, fils du Salomon Symchowicz (non registré) et de la Fradla Verderber.
Laja Otrebska de Konsk, fille du Chaim-Rachmil Konsk et de la Brandla Konsk. (Probablement les deux marièrent et furent assassinés à Majdanek ou à Treblinka, voyez en haut.)
1920, Publication des bans, numéro suivi 283:
Sygmund Silbermann de Jordanów, fils du Heinrich Silbermann et de la Lenia Lilenthal.
Zofia Kronfeld de Kraków, fille du Ignacy Kronfeld et de la Roza Ferderber.
1921, Publication des bans, numéro suivi 463:
Pinkas Käfer de Brzesko, fils du Tobiasz Käfer et de la Sara-Itla Ferderber.
Berta Feil de Kraków, fille du Mojzesz-Jozua Feil et de la Gitla-Lieba Wachtel.
1921, Heirat, numéro suivi 134 (à la publication susmentionée des bans):
Pinkas Käfer de Brzesko, fils du Tobias-Gutman Käfer et de la Sara-Itla Ferderber.
Berta Feil de Kraków, fille du Mojzesz-Jojna Feil et de la Gittla-Lieba Wachtel.
1924, Heirat, numéro suivi 267:
Benjamin Kaffer de Brzesko, fils du Tobiasz-Guttmann Kaffer et de la Sara-Itla Verderber. (Évidemment un frère du Pinkas Käfer du mariage susmentionné.)
Bronislawa Liebling de Kraków, fille du Wiktor Bronislawa et de la Temerla Buchenholz.
1929, Heirat, numéro suivi 115:
Mojzesz-Kalman Verderber de Brzesko, fils du Abraham-Abe Verderber et de la Lieba v Marjema Waksfätter.
Dobre-Beile Frost de Kolbuszowa, fille du Izrael-Hersch Frost et de la Reizla-Rachela Letzterer.

Morts et cimetières

Morts des Verderbers juifs pendant 1810–54 et 1869–89 à Krakow (Kraków, Pologne) (voyez http://www.jewishgen.org/jri-pl/jriplweb.htm avec le mot de recherche « Verderber »)  :

Morts des Verderbers juifs pendant 1808–47 et 1856–76 à Tarnow (Tarnów), province Krakow (Kraków, Pologne) (voyez http://www.jewishgen.org/jri-pl/jriplweb.htm avec le mot de recherche « Verderber »)  :

Dans le cimetière juif nouveau de la ville slovaque Košice, qui est utilisé depuis 1889, les personnes suivantes sont enterrées d’après les livres de cimetière pour 1889–2000 (voyez http://147.232.145.11/history/zidovsky/jew_vx.htm respectivement http://147.232.145.11/history/zidovsky/jew_fx.htm)  :

Dans le cimetière libéral juif de la ville slovaque Prešov (au nord de Košice et appelée Eperjes en langue Hongrois) sont enterrées d’après la liste du cimetière (voyez http://www.jewishgen.org/infofiles/presov-n.txt) :

Dans le cimetière juif-orthodoxe de la ville slovaque Prešov sont aussi enterrées d’après la liste du cimetière (voyez http://www.jewishgen.org/infofiles/presov-o.txt) :

Ligne horizontale.

Au commencement de la page. Retour au commencement de la page

Tableau synoptique. Retour au tableau synoptique

Page du commencement.Retour à la page du commencement